Chevalier

William Thatcher, fils de couvreur et modeste écuyé, a un don inné pour les combats de joute. Après la mort de son maître, Sir Ulrich Von Lichtenstein, il se procure de fausses lettres de noblesses lui permettant de participer aux tournois, normalement uniquement accessibles aux nobles. Il se fait rapidement remarquer pour sa dextérité et gagne de nombreux tournois, s'attirant l'amour de Jocelyn mais aussi la rivalité du comte Adhemar.

Un film moyen-âgeux pleins d'anachronismes, mais l'on rentre finalement très facilement dans cet univers. Son but n'est pas de retranscrire les conditions qu'il y avait à cette époque, mais de montrer que chacun peu changer son destin. Les jeux d'acteurs sont vraiment excellents, avec le regretté Heath Ledger, Rufus Sewell dans le rôle du méchant et la belle Shannyn Sossam. Un film drôle et agréable.

Les quarts de finale

Avaient lieu lors de ces quatre dernières soirées les quarts de finale de l'Euro. Petit topo ?

Les surprises

- Le Portugal était grand favori de son quart de finale face à l'Allemagne. Emmenée par Cristiano Ronaldo, la sélection dirigée par Scolari s'est inclinée logiquement sur le score de 3-2. Une surprise pour un grand favori de la compétition.

- La Croatie nous avait impressionné lors de sa phase de poules, terminant première après trois victoires (dont une face à l'Allemagne). Elle s'est finalement fait sortir par la Turquie aux tirs au but après un match à rebondissements. Après les phases de poule, tout repart à zéro...

- Les Pays-Bas étaient également grand favoris après leurs matchs exceptionnels en poule. Ils sont finalement logiquement tombés sur une Russie qui ne cesse de progresser (3-1 après prolongations). Van der Sar a tiré sa révérence en sélection suite à son élimination.

Les satisfactions

- L'Allemagne est le seul favori qui a répondu aux attentes. Réaliste, efficace et proposant de superbes séquences de jeu, la Mannschaaft pourrait aller très loin dans la compétition.

- On connaissait le talent russe après la victoire de Zénith St Petersburg en Coupe de l'UEFA, il s'est confirmé avec la victoire face aux Pays-Bas. Menée par le talentueux Arshavin, la sélection russe a cependant un grand point faible : sa défense.

Les déceptions

- Le Portugal est LA déception de ces quarts de finale. En panne d'imagination et avec un Ronaldo plutôt discret, les portugais rentrent à la maison. Une équipe de grands talents qui a payé ses faiblesses sur coup de pied arrêté.

- L'on attendait beaucoup mieux des Pays-Bas et ils sont passés proches de la correctionnelle face aux Russes. Pourtant, là aussi, il y avait du talent.

- Le match Espagne - Italie, de piètre qualité, a été également une grande déception. Pas un décalage, pas un moment où le match s'est enflammé. Cette rencontre ne pouvait que se terminer par les tirs au but.

Les équipes à suivre

- Affaiblie par les blessures et les suspensions, la Turquie se présentera face à l'Allemagne mercredi prochain avec seulement treize joueurs sur la feuille de match. L'on pourrait ainsi voir le gardien remplaçant rentrer dans le champ en fin de rencontre. Comptons sur Fatih Terim pour limiter la casse...

- La Russie. Après avoir éliminée les Pays-Bas, les Russes se présentent en outsider contre les Espagnols. La finale est tout à fait envisageable...

Les joueurs à suivre

- Il a dynamité à lui tout seul la défense portugaise. Bastian Schweinsteiger, auteur d'un but et deux passes décisives face au Portugal, sera à surveiller lors de la rencontre face à la Turquie, mercredi prochain.

- Il a finalement sauvé son équipe. Rustü, gardien de la Turquie, n'a finalement pas été ridicule face aux croates, mais est tout de même impliqué sur le seul but adverse. Il a été décisif aux tirs au but et devrait avoir du travail face aux attaquants allemands.

- Il a été l'auteur d'un but et d'une passe décisive contre les Pays-Bas. Arshavin se présente comme LE joueur à suivre lors du prochain Espagne-Russie. Avec une vision du jeu exceptionnelle, il se démarque de ses coéquipiers.

Orange Mécanique

Une affiche qui veut tout dire

Nous connaissons tous le talent de Stanley Kubrick, remarqué dans des films comme Full Metal Jacket ou Shining. Je vais vous parler aujourd'hui d'Orange Mécanique, réalisé en 1976. Ce film raconte les aventures des Droggies dirigé par Alex exercant des actes pleins de sadisme et violence. Alex est finalement arrêté et doit suivre une thérapie très spéciale pour se faire guérir de ses excès de virulence.

Un film interdit au moins de 16 ans qui a fait scandale lors de sa sortie. La violence qui nous est présentée est considéré pour beaucoup comme gratuite, mais les femmes de Kubrick apprécieront. Malcolm McDowell y est tout simplement excellent, son image complémentaire à l'idée du film, qui lui vaudra d'ailleurs une nomination pour le meilleur acteur au Golden Globe.

PS : pas de vidéo pour cette fois, il ne faut pas rendre ce blog trop violent (sic).

Wimbledon : le tirage

Avait lieu vendredi le tirage au sort de Wimbledon, qui débute lundi. Le point sur les différentes rencontres des français et des favoris... Galant comme nous sommes, nous commençons par les hommes...

HOMMES

Du côté des français, le tirage au sort est plutôt mitigé. En effet, Nicolas Mahut, Fabrice Santoro et Julien Benneteau seront respectivement opposés aux têtes de série Dimitri Tursunov, Andy Murray et Nicolas Kiefer. D'autres joueurs comme Ascione, Llodra ou Gasquet affronteront des spécialistes de la surface (Tipsarevic, Ancic et Fish). Le tirage s'annonce néanmoins plus clément pour Serra (Lu), Chardy (Gil), Grosjean (Starace) ou encore Mathieu (Hernandez, qu'il avait éliminé à Roland Garros).

Du côté des trois meilleurs joueurs mondiaux, Roger Federer débutera son tournoi face à Dominique Hrbaty, Rafael Nadal contre Andreas Beck et Novak Djokovic affrontera lui Michael Berrer.

FEMMES

Le tirage au sort des françaises pour ce premier tour est à priori clément. Alizé Cornet sera opposée à Anastasia Pavlyuchenkova, Marion Bartoli à Sabine Lisicki et Amélie Mauresmo à Ashley Harkleroad. Cependant, Mathilde Johansson et Stéphanie Foretz tenteront de limiter la casse respectivement face à Kuznetsova (n°4) et Sharapova (n°3). Quelques rencontres pourraient être accrochées comme Pin face à Styrcova ou Rezai face à Dulko.

Concernant la numéro un mondiale Ana Ivanovic, elle effectuera son entrée face à la paraguayenne Rossana De Los Rios. Jelena Jankovic (n°2) affrontera elle Olga Savchuk.

Gangs of New York

Le New York de 1846 est le lieu d'une véritable guerre des gangs entre les lapins morts et les natifs, dirigés par le cruel Bill le Boucher. Ce dernier tue le chef des lapins morts et contrôle seul les quartiers de la ville. Seize ans plus tard, Amsterdam Vallon, fils de l'ancien chef des lapins morts, souhaite venger son père et tuer Bill le Boucher. Après s'être allié avec son ennemi, il est découvert et une bataille sanguinaire va s'abattre sur la ville de New York...

Du très bon Scorsese avec des acteurs étonnants. Di Caprio et Day-Lewis sont excellents et Cameron Diaz toujours aussi resplendissante.

Manaudou n'est pas prête

A deux mois du début des Jeux Olympiques de Pékin, Laure Manaudou était engagée ces derniers jours à l'Open de Paris, dans le but de connaître les progrès qu'ils lui restent à accomplir avant les JO. Et il s'avère qu'ils sont considérables au vu des performances de la jeune française...

Classée 3e et 2e, respectivement dans les finales du 50 m et 200 m dos, Laure Manaudou ne peut qu'être déçue des performances qu'elle a accompli, allant même qualifier ses temps de "nuls", avant de surenchérir : "Le 50 dos, c'est nul, j'avais mal aux jambes. Après le 200 dos, pour un temps de finale, c'est nul" (lequipe.fr). La championne est donc consciente du chemin qui la sépare d'une médaille d'or à Pékin. Cependant, le temps presse et Manaudou est consciente de l'urgence. Elle cherche néanmoins à positiver : "C'est assez difficile, mais je pense que tout le monde est obligé de passer par là pour y arriver, pour se dire qu'il faut vraiment nager plus vite à Pékin. Je pense que ça fait du bien de temps en temps de ne pas être à fond et attendu sur toutes les courses " (lequipe.fr).

L'avenir nous dira enfin si Manaudou a fait le bon choix en se séparant de Philippe Lucas...

Jurassic Park revient...

Après Jurassic Park 3, il aura donc fallu sept années pour voir un nouveau film de la Saga de Steven Spielberg débarquer sur nos écrans. Le nom de ce quatrième opus serait "Jurassic Park 4 : The Extinction", titre qui nous laisse présager de l'action à gogo. Dans ce film, qui devrait cloturer la saga, devraient apparaître de nouvelles espèces de dinosaures, pour notre plus grand bonheur. Sa date de sortie est encore indécise, mais devrait probablement se situer en 2009. Réalisé par Joe Johnston et avec Laura Dern en personnage principal, nous pouvons nous poser la question si la sortie d'un nouveau Jurassic Park n'aurait pas, avant tout, un seul but commercial.

Une équipe à renouveler

L'exploit n'est pas arrivé. Après une entrée en matière médiocre face à la Roumanie (0-0) et les Pays-Bas (1-4), les Bleus se sont inclinés 2-0 face à l'Italie et terminent dernier du Groupe C. Un match qui ne pouvait être emporté que par les italiens au vu de sa physionomie...

Après une entrée dans le match plutôt prometteuse de l'Equipe de France arrive à la 7e minute un premier tournant : Franck Ribéry se blesse après un contact avec Zambrotta et est obligé de sortir, remplacé par Nasri. La France perd alors son principal animateur et distilleur de ballons aux attaquants. Quelques minutes plus tard arrive un deuxième coup dur. Lancé dans le dos de la défense française, Luca Toni se présente seul face à Coupet. Bousculé dans le dos par Abidal, il tombe dans la surface adverse. L'arbitre n'hésite pas, désigne le point de pénalty et sort un carton rouge pour Abidal, qui était en position de dernier défenseur. Pirlo transforme sereinement son pénalty et permet à l'Italie de mener 1-0 face à l'Equipe de France, désormais à dix. Le match est alors joué.
A partir de ce moment, l'Italie se contentera de gérer, guère inquiétée par le peu d'imagination de l'Equipe de France, outre Benzema. Le second but italien d'un coup franc de De Rossi dévié par Henry est donc tout à fait mérité. Le score aurait également pu être beaucoup plus large avec les nombreuses occasions gâchées par un Toni peu en réussite. Au final, les Bleus sont donc logiquement éliminés de cet Euro. Le sélectionneur de l'EDF menacé après cette élimination déclarera après la rencontre, à priori peu touché par la défaite de son équipe : "La seule chose à laquelle je pense désormais, c'est de me marier avec Estelle. Je lui demande sa main." De quoi alimenter les critiques de plus en plus insistantes à l'égard du sélectionneur.

Zoom sur un joueur : Arjen Robben

En 45 minutes, il a dynamité la défense française vendredi. En 45 minutes, il a réalisé une passe décisive et inscrit un but à une équipe réputée pour sa solidité défensive. Nous dressons aujourd'hui le portrait d'Arjen Robben, perle hollandaise à la fois brillante et inconstante.

Arjen Robben naît le 23 janvier 1984 à Bedum, petite ville de la province de Groningue aux Pays-Bas. Robben commence à tater le ballon dès son plus jeune âge, dans le club de sa ville. Dès l'âge de 15 ans, il se fait repérer par la plus grande équipe de la région, le FC Groningue, où il signe un contrat amateur. Il explose dès sa première saison dans son nouveau club en inscrivant le nombre extraordinaire de 50 buts, ce qui intéresse bien sur Jan Van Dijk, entraîneur de l'équipe première. Il intègre donc dès l'année suivante l'effectif professionnel, à l'âge de 16 ans, et il est élu meilleure joueur de l'année après 18 matchs et 2 buts dans le championnat hollandais. Sa saison suivante chez les verts est encore plus accomplie, avec 28 matchs et 6 buts à son actif. Il attise alors les convoitises du PSV Eindhoven, où il est transféré pour 4,2 millions d'euros. A seulement 18 ans, il rejoint déja l'un des plus grands clubs hollandais, engagé en Ligue des Champions. Il restera à Eindhoven durant deux saisons, goûtant à la Ligue des Champions et accrochant le titre de champion en 2003. Néanmoins, il connaît ses premières blessures lors de la dernière saison hollandaise, qui l'ont toujours suivies jusqu'à aujourd'hui. De nombreux grands clubs sont alors intéressés par la perle hollandaise et c'est le Chelsea de Roman Abramovitch qui obtient le jeune Oranje (il connaît sa première sélection en 2003 face au Portugal) pour 18 millions d'euros. Robben quitte donc son pays natal pour le densité physique du championnat anglais.

"Robbie" se blesse dès son arrivée en Angleterre lors des rencontres de préparation. Ses premiers matchs officiels avec les blues sont néanmoins très prometteurs pour un jeune de vingt et il est notamment nommé pour le titre de meilleur joueur de l'année, remporté par Wayne Rooney. Il se reblesse une nouvelle fois en fin de saison, ne pouvant contribuer au titre de champion de Chelsea. La saison 2005-2006 est la meilleure de Robben avec Chelsea. Connaissant peu de problèmes physiques, il s'installe comme un titulaire indiscutable dans le couloir gauche et aide largement son club à devenir champion pour la seconde fois consécutive. Ses prestations lui valent d'être sélectionné pour la Coupe du Monde en Allemagne, où il brillera plus pour son individualisme que pour sa technique hors du commun. La saison suivante est mitigée pour Robben. Barré par la nouvelle organisation du club (Chelsea utilise un système tactique sans ailiers avec uniquement des milieux axiaux) et atteint de blessures au genou et à la cuisse, il joue peu. C'est sa dernière saison à Londres. Le Bayern Munich, le FC Barcelone et Lyon sont intéressés par le joueur. Le Real Madrid se montre néanmoins le plus persuasif en le recrutant pour la somme énorme de 36 millions d'euros (quatrième plus cher transfert de l'histoire du Real). Encore atteint par de nombreuses blessures durant sa première saison chez les merengues, il ne joue que 20 matchs de Liga, avec un Euro très important en ligne de mire. Remplaçant face à l'Italie, il a démontré toute sa classe après son entrée face à la France et pourrait très bien être l'un des meilleurs joueurs de la compétition.

Man on Fire

En Amérique latine vit une famille aisée avec une fille unique nommée Pita Ramos. Face à une vague d'enlèvements permanente dans la région, la famille Ramos décide d'engager un garde du corps pour protéger la jeune fille. John Creasy, ancien agent de la CIA devenu alcoolique, devient le bodyguard de Pita. Au fur et à mesure, la jeune fille parvient à sympathiser avec Creasy, tout en lui redonnant la joie de vivre qu'il avait perdue. Jusqu'au jour où Pita se fait enlever par une organisation spécialisée. John Creasy se jure alors de tout faire pour venger la jeune fille...

Un film qui allie à la fois une dénonciation de ce qui se déroule en Amérique latine (enlèvement d'enfants, police corrompue) à de l'action et de l'émotion. Denzel Washington est tout simplement excellent dans le rôle de John Creasy et forme un duo complémentaire avec la jeune Dakota Fanning.

Le point sur les transferts

Depuis l'ouverture du mercato des transferts il y a plus d'un mois, de nombreuses transactions ont été effectuées, en France ou à l'étranger. Le point sur les transferts effectués ainsi que les rumeurs circulant...

FRANCE

- Yoann Gourcuff, milieu offensif du Milan AC et international espoir de l'Equipe de France, a été prêté pour un an chez les Girondins de Bordeaux. En panne de temps de jeu, Gourcuff cherchera rapidement à convaincre les girondins dans l'optique possible d'un transfert définitif dès la saison 2009-2010. Bordeaux, dont le but est de concurrencer l'Olympique Lyonnais dans la lutte pour le titre de champion de France, est également intéressé par Mickaël Silvestre (Manchester U.), Yoan Gouffran (Caen) ou encore Fabrice Abriel (Lorient).

- Bien évidemment, Lyon est également très actif sur le marché. Après avoir finalisé le transfert d'Ederson lors du dernier mercato hivernal (il avait été prêté par l'OL jusqu'à la fin de cette saison), Lyon a continué son marché à Nice avec le renfort d'Hugo Lloris pour 8,5 millions d'euros. Il sera chargé de remplacer Grégory Coupet, dont la destination est toujours inconnue. Les septuples champions de France se sont également attachés les services de Miralem Pjanic, jeune prodige messin de 18 ans, pour la somme de 8 milions d'euros. De nombreuses rumeurs circulent encore dans le Rhône. Ainsi, pour remplacer un possible départ de Réveillère, la piste de Mickaël Chrétien (Nancy) (voir Lichtsteiner, du LOSC), serait la plus plausible. Comme lors du mercato estival précédent, les noms de Makoun (Lille) et Armand (PSG) sont également chuchotés. Concernant les départs, Ben Arfa (PSG, Marseille, Angleterre, Italie), Cléber Anderson (Grenoble, Brésil), Fred (Werder, Naples, Tottenham), Govou (PSG, Espagne, Italie) et Squillaci (FC Séville) pourraient également quitter le Rhône. Concernant l'entraîneur lyonnais, Claude Puel (Lille) devrait prendre la place d'Alain Perrin, dont les procédures de licenciement sont en cours.

- A Marseille, dont l'objectif est de "jouer le titre l'an prochain" selon Eric Gerets, sont à signaler les arrivées d'Hilton (Lens) et Erbati (Casablanca). De nombreuses pistes sont actuellement en négociation comme celle de Ben Arfa (OL - qui a néanmoins donné sa préférence au PSG), Boulahrouz (Chelsea), B. Koné (Nice), Kim (Nancy) ou encore Mavuba (Villareal). Les négociations iront-elles au bout ? Les prochains jours répondront à cette question. Concernant les départs, l'OM a dégraissé son effectif (Oruma et différents prêts) et pourrait voir partir Samir Nasri (Arsenal), Cédric Carasso (Nice, Toulouse) ou encore Djibril Cissé (Angeleterre) qui a déclaré récemment vouloir revenir au Royaume-Uni.

- A Paris, hors l'arrivée d'Hoarau (Le Havre), aucun transfert n'est à signaler. Néanmoins, la rumeur Lilian Thuram (PSG) semble très sérieuse. Le PSG serait également très chaud pour les internationaux Claude Makélelé (Chelsea), Sidney Govou (Lyon), Hatem Ben Arfa (Lyon), ou anciens comme Ludovic Giuly (AS Roma). Le salaire demandé par ces joueurs devrait néanmoins repousser les ardeurs parisiennes. Les places libérées par Pauleta, Mendy, Yepes et Alonzo, en fin de contrat, n'ont pour l'instant pas été comblées.

- Chez les autres, les promus sont plutôt actifs. Que cela soit Le Havre (Dieuze, Fauré, Sambou, Noro), Grenoble (dossiers avancés sur Carrière, Arribagé et Muller) ou Nantes (Abdoun, Alonzo, Tall), tous semblent vouloir se battre pour ne pas faire l'ascenseur l'an prochain. Lorient (Amalfitano, Buron, Joinel, Le Lan), Nancy (Calvé, Féret, Sami) et Saint-Etienne (Dos Reis, Matsui, Sauget) sont également très actifs. En Ligue 2, Lens (Chelle, Sartre et départs de Carrière, Monterrubio) adapte son effectif au défi physique imposé par la L2.

ETRANGER

- En Angleterre, Arsenal a une nouvelle fois recruté de jeunes espoirs (Vela, Ramsey) et Arsène Wenger serait intéressé par de nombreux jeunes français (Makoun, Ben Arfa, Nasri, Matuidi...) pour remplacer les joueurs partis (Flamini, Lehmann) ou partants (Hleb, Adebayor, Gilberto Silva). Du côté de Chelsea, l'arrivée de Felipe Scolari en tant qu'entraîneur du club devrait coïncider avec la venue du portugais Deco (FC Barcelone) chez les blues, après celle de Bosingwa (Porto). De nombreux départs sont également possibles (Drogba, Lampard, Makelele). Le mercato de Manchester United devrait être lui plus calme, après la prolongation de Patrice Evra. Reste néanmoins à régler "l'affaire Cristiano Ronaldo", qui aurait envie de rejoindre le Real Madrid. Le rival de City pourrait lui accueillir le brésilien Ronaldinho (FC Barcelone), plus réputé ces derniers temps pour ses sorties nocturnes que ses performances sur le terrain.

- En Bundesliga, le Bayern Munich a recruté le gardien du Benfica Lisbonne Hans-Jorg Butt, qui sera la doublure de Rensing après le départ à la retraite de Kahn. Borowski (Werder Brême) a également fait ses valises pour la Bavière et il pourrait être rejoint par Hleb (Arsenal). Le club d'Hambourg devra lui régler le cas de son international hollandais Rafael Van der Vaart (Chelsea ?). Wolfsburg est de son côté très actif sur le marché, avec les arrivées des deux défenseurs internationaux italiens de Palerme Cristian Zaccardo et Andrea Bazargli.

- En Espagne, le FC Barcelone est en pleine reconstruction. Outres les arrivées de S. Keita (Séville), Piqué (Manchester U.) et Caceres (Villareal), le Barça s'est attaché les services du convoité Daniel Alves (Séville). De nombreux joueurs devraient encore débarquer en Catalogne (Affelay, Guiza, Capel...). Du côté des départs, Zambrotta (Milan AC), Edmilson (Villareal) et Giovani (Tottenham), ont fait leurs valises, probablement prochainement imités par Thuram (France, Angleterre), Deco (Inter, Chelsea) Eto'o (Angleterre, Italie) et Ronaldinho (Manchester City, Italie). Le Real Madrid a lui retenu les erreurs passées et peu de transferts devraient avoir lieu dans la capitale espagnole. Le dossier chaud est bien sur celui de Cristiano Ronaldo (Manchester United).

- Du côté de l'Italie, l'Inter Milan devrait être très actif suite à l'arrivée de José Mourinho en tant qu'entraîneur. Les noms de Drogba (Chelsea), Deco (FC Barcelone), Lampard (Chelsea) ou encore Hleb (Arsenal), sont susurrés. Le Milan AC recrute lui intelligemment avec les apports de Mathieu Flamini (Arsenal) et de l'international italien Gianluca Zambrotta (FC Barcelone). De nombreuses rumeurs circulent également à l'AS Roma (Chrétien, Gomez, Gilberto Silva, Riise) mais rien n'est pour l'instant très crédible.

Forrest Gump

"Je m'appelle Gump, Forrest Gump." Ce film de Robert Zemeckis (connu également pour la saga des Retour vers le Futur) retrace la vie d'un homme dont la vie est marquée par son inintelligence et ses capacités exceptionnelles, notamment pour le ping pong et le football américain ("Cours, Forrest !"). Du Vietnam à on activité de pêcheurde sardines, de 1940 à la fin du XXe siècle, ce film permet également de retracer l'histoire des Etats-Unis. Une histoire à la fois émouvante et pleine d'humour avec un Tom Hanks exceptionnel. En vidéo, la course folle de Forrest...

Plus maîtres de leur destin

Après le match nul entre l'Italie et la Roumanie (1-1), la France s'est inclinée face aux Pays-Bas sur le lourd score de 4-1. Défaite sévère, à la fois par rapport à la physionomie du match mais également aux conséquences pour l'Equipe de France...

Tout semblait réunit pour que la France aborde son match face aux Pays-Bas dans les meilleures conditions possibles. Henry revenait de blessure et était aligné seul à la pointe de l'attaque. L'Italie venait de perdre deux points face à la Roumanie (1-1). Hélas, les bleus n'ont pas saisi l'opportunité qui se présentait. Après un coup de tête de Ribéry sur un centre de Malouda (5e), les Oranjes rentrent peu à peu dans la partie et Dirk Kuyt ouvre le score sur corner (10e). Après dix minutes de jeu, les Pays-Bas mènent déja 1-0. La France réagit ensuite par Govou (23e-35e), Malouda (34e) et Ribéry (43e). Sans succès. Les bleus rentrent donc aux vestiaires sur le score de 1-0, magré des occasions franches en fin de période.

L'Equipe de France retourne sur le terrain avec les mêmes intentions qu'en fin de mi-temps et aurait mérité un pénalty à la 49e minute de jeu, sur un tir d'Henry qui prenait la direction du but, mais dévié par Ooijer. Cinq minutes plus tard, c'est une occasion en or qui se présente au buteur Barcelonais. Seul face à Van der Sar sur un service de Malouda, son lob passe au dessus du but hollandais. La France est aussitôt sanctionnée et Van Persie, rentré en jeu deux minutes auparavant, fait le break sur un superbe centre de Robben (59e - 2-0). Les français ne baissent pas les bras pour autant et Thierry Henry réduit le score à 2-1 sur un service de Willy Sagnol (71e). Mais l'espoir fut de courte durée, les Oranjes reportant aussitôt l'écart à deux buts sur un exploit de Robben (72e). La motivation n'est alors plus là pour les tricolores, et le superbe but de Sneijder dans les arrêts de jeu vient aggraver la marque (93e - 4-1). Les bleus n'ont plus leur destin entre leur main et doivent obligatoirement s'imposer face à l'Italie, tout en espérant que la Roumanie ne batte pas les Pays-Bas, afin de se qualifer.

PS : Merci à l'UEFA de ne pas permettre aux télespectateurs de faire partager les buts du match sur Youtube, Dailymotion et autres...

Tabarly

Le sport et le cinéma sont étroitement liés. En témoigne le dernier film de Pierre Marcel, "Tabarly", retraçant le parcours hors norme du marin Eric Tabarly. Avec de nombreuses images inédites, ce film est d'une émotion et d'une sensibilité incroyable. La bande-annonce du film nous donne déja un aperçu de ce qui nous attend en salle...

Boston tout proche de la victoire

Alors que leur défaite lors de la dernière rencontre semblait avoir relancé les hostilités, les Celtics de Boston se sont imposés hier soir face aux Los Angeles Lakers en quatrième rencontre de finale NBA sur le score de 97-91, ce qui leur permet de mener maintenant 3-1 et de n'avoir plus besoin que d'une victoire pour décrocher le titre national.
Malgré une première mi-temps tonitruante (les Lakers menaient 58-40), l'équipe entraînée par Phil Jackson a vu peu à peu l'écart se rétrécir, avec notamment un 15-31 en faveur des Celtics dans le troisième quart-temps. Menée par son Big Three (Ray Allen, Paul Pierce, Kévin Garnett) et également un très bon James Posey (18 points), l'équipe de Boston a donc surclassé les Lakers en seconde période avec une défense infranchissable et une abnégation exceptionnelle. Même le grand Kobe Bryant n'aura su briller comme à son habitude (l'arrière a été auteur de 17 points). Phil Jackson, coach des L.A., reconnaîtra : "Il faut saluer leur performance. Leur défense a été à la hauteur de l'évènement. Et on n'a pas été très bon dans l'exécution de nos systèmes. Les joueurs sont déprimés. C'est difficile, vu la tournure de la rencontre. Mais cette série n'est pas finie" (lequipe.fr).

Ce discours contraste avec celui de Paul Pierce, arrière des Celtics et grand artisan de la victoire de son équipe : "On s'est accroché en essayant d'oublier le score. On s'est juré de ne pas lacher et on a réalisé un comeback incroyable. Et tout a commencé avec notre défense en seconde mi-temps. Maintenant, on va essayer de finir dimanche pour la fête des pères" (lequipe.fr). Encore une fois, la défense des Lakers a donc été inexistante, passive, surclassée. Les Lakers se doivent de résoudre les nombreux problèmes qui se présentent à eux avant peut-être l'ultime rencontre de cette finale, dimanche en Californie.

Troie

Dans la Grèce Antique existent deux peuples qui vivent dans une entente parfaite : Troie et Sparte. Jusqu'au jour où Helène, reine de Sparte, tombe sur les charmes du prince de Troie, Paris, et décide de suivre ce dernier jusqu'à son peuple. Cet évènement est du pain béni pour Ménélas, roi de Sparte, et Aggamemnon, son frère, à la fois pour garder leur honneur sauf mais également pour agrandir leur territoire. Achille, grand soldat spartien controversé, viendra largement influencer l'issue de cette terrible guerre...

Un grand film avec des décors magnifiques et de grands acteurs, qui a coûté la modique somme. Le plus grand péplum du cinéma ? En vidéo, le grand combat entre Achille et Hector.

Zoom sur un joueur : David Villa

En plein Euro, je vous propose de réaliser suite à chaque journée un gros plan sur un joueur qui s'est fait remarqué durant une rencontre. David Villa, auteur d'un triplé face à la Russie, mérite logiquement d'être le premier joueur à propos duquel nous nous intéressons...

David Villa naît le 3 décembre 1981 à Langreo, dans la principauté des Asturies. Villa commence le football à l'âge de dix ans, dans le petit club d'Up Langreo, où il restera durant huit années. En 1999, alors âgé de 18 ans, Villa décide de donner une autre orientation à sa carrière et rejoint le Real Sporting Gijon, club alors amateur. Il contribue dès sa première saison à la montée de son club en seconde division et donc à ses débuts dans le monde professionnels. "El Guaje" est agé de 19 ans.

Trois saisons et 51 buts (en 115 matchs) plus tard, Villa se fait repérer par le Real Saragosse, équipe habituée de figurer dans la première moitié de tableau de la Liga. Les superbes prestations qu'il effectua durant ses deux saisons passées en Aragon et ses deux trophées remportés (Coupe du Roi et SuperCoupe en 2004) lui permettront d'attirer les envies de nombreux grands clubs espagnols. Ils choisira finalement de porter le numéro 7 du maillot valencian, club qui a désormais une grande part dans le coeur de l'international espagnol. Villa continue sur sa lancée des saison précédente et termine tout proche du titre de pichichi pour sa première année valencianne (25 buts contre 26 pour Eto'o). Ses prestations lui permettent également de goûter à la sélection nationale le 9 février 2005 à Almeria face à Saint-Marin (5-0), devant une pièce très importante du dispositif de Luis Arragones.

Cette saison a été très difficile pour Villa. Son club, en pleine crise après de nombreux changements d'entraîneurs, a lutté durant de nombreuses journées contre la relégation. La victoire en Coupe du Roi face à Getafe (2-1) est l'arbre qui cache la forêt. Villa refuse passer une saison supplémentaire sans participer à la prestigieuse Ligue des Champions. Un départ de Valence semble donc évident pour l'attaquant espagnol. Courtisé en 2007 par des clubs anglais comme Chelsea et Arsenal, le Real Madrid semble aujourd'hui très intéressé par le joueur. Sa première prestation à l'Euro aura montré à tous les recruteurs que son sens du but est toujours aussi aiguisé...

I Am Legend

Un virus d'origine humaine s'est répandu dans le monde entier. Robert Neville, grand savant mystérieusement immunisé contre ce virus, est sans doute le dernier homme sur terre. Sa tâche : venir à bout du virus. Mais les "Infectés", victimes de cette peste, rodent dans les environs et viennent entraver les recherches de Neville. Un combat pour la survie de l'humanité...

Un film épatant de Francis Lawrence tiré du célèbre livre du même non, avec une grande performance de Will Smith. Les effets spéciaux et l'action sont au rendez-vous, pour notre plus grand bonheur...

Boonen est positif

Cela faisait maintenant quelques temps que nous n'avions plus entendu parler de dopage dans le monde du cyclisme. Hélas, les problèmes que rencontrent ce sport avec les substances illégales n'est pas près d'être résolu. En effet, le très crédible journal belge Het Laatste Nieuws (à prononcer avec l'accent s'il vous plait, Site officiel) a dévoilé ce mardi matin que le champion du monde belge Tom Boonen a été contrôlé positif fin mai à la cocaïne, mais en période extérieure à la compétition. L'infomation a ensuite très vite été confirmée par la justice belge : "Un contrôle hors-compétition effectué le 26 mai par le ministère de la communauté flamande auprès du coureur cycliste Tom Boonen a déterminé la présence d'un métabolite de la cocaïne" (propos tirés de lequipe.fr).

La justice belge s'est donc saisie de l'affaire, la cocaïne étant prohibée sur le territoire belge. Cependant, Boonen ne risquerait pas de sanction sportive selon une porte parole du ministre régional des sports : "Une suspension est prévue lorsque les contrôles ont lieu les jours de compétition, mais ce n'est pas le cas dans cette affaire" (AFP). Pour le moment, l'équipe du sprinteur belge, la Quick Step, a refusé de laisser le moindre commentaire à propos de cette affaire. Déja cité dans une affaire similaire, Boonen risque bien de voir sa réputation ternie par cette affaire.

Le Boulet

Un ticket de Lotto perdu... Un criminel et un boulet... Des répliques cultes... Du rire... Voilà, en résumé ce que vous propose ce film réalisé par Alain Berbérian et Frédéric Forestier. Un très bon long métrage français, avec beaucoup d'humour grâce au duo Poelvoorde - Lanvin, très complémentaire et très spécial... S'ajoutent à cela quelques scènes d'actions pour notre pur bonheur durant 1h47.
Comme d'habitude, la maison offre un petit cadeau...

Euro 2008 - Le Guide

L'Euro 2008 de football débute ce soir en Autriche et en Suisse. De quoi réjouir les fans de footballs qui pourront suivre cette compétition internationale jusqu'au 30 juin. Pour vous, voici le guide de l'Euro... Groupe A

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Turquie

Les favoris :

Le Portugal est le grand favori du groupe. Malgré un déficit de buteurs, l'équipe emmenée par Cristiano Ronaldo devrait sortir de ce groupe sans trop d'embûches. La seconde place qualificative devrait donc se disputer entre la Suisse à domicile, la République Tchèque de Jan Koller et la Turquie entraînée par Fatih Terim.

Les stars :

Deco (Portugal - FC Barcelone)

Cristiano Ronaldo (Portugal - Manchester United)

Petr Cech (République Tchèque - Chelsea)

Jan Koller (République Tchèque - Nuremberg)

Tranquillo Barnetta (Suisse - Bayer Leverkusen)

Alexander Frei (Suisse - Borussia Dortmund)

Hamit Altintop (Turquie - Bayern Munich)

Kahveci Nihat (Turquie - Villareal)

Les jeunes à suivre :

Joao Moutinho (Portugal - Sporting Portugal)

Miguel Veloso (Portugal - Sporting Portugal)

Martin Fenin (République Tchèque - Eintracht Francfort)

Gelson Fernandes (Suisse - Manchester City)

Mevlüt Erding (Turquie - FC Sochaux)

Le calendrier :

Suisse - République Tchèque (Journée 1)

Portugal - Turquie (J1)

République Tchèque - Portugal (Journée 2)

Suisse - Turquie (J2)

Suisse - Portugal (Journée 3)

Turquie - République Tchèque (J3)

Groupe B

Autriche

Croatie

Allemagne

Pologne

Les favoris :

L'Allemagne devrait normalement se qualifier facilement dans ce groupe, à priori le moins relevé de la compétition. La seconde place qualificative devrait se disputer donc entre la Croatie et la Pologne, avec sans doute un petit avantage aux croates. Quand à elle, l'Autriche se contentera d'éviter d'être ridicule dans son pays.

Les stars :

Michael Ballack (Allemagne - Chelsea)

Miroslav Klose (Allemagne - Bayern Munich)

Andreas Ivanschitz (Autriche - Panathinaïkos Athènes)

Dario Simic (Croatie - Milan AC)

Niko Kovac (Croatie - Salzbourg)

Artur Boruc (Pologne - Celtic Glasgow)

Euzebiusz Smolarek (Pologne - Racing Santander)

Les jeunes à suivre :

Marcell Jansen (Allemagne - Bayern Munich)

Mario Gomez (Allemagne - VFB Stuttgart)

Sebastian Prödl (Autriche - Sturm Graz)

Luka Modric (Croatie - Dinamo Zagreb et futur Tottenham)

Ivan Rakitic (Croatie - Schalke 04)

Jakub Balszczykowski (Pologne - Borussia Dortmund)

Le calendrier :

Autriche - Croatie (Journée 1)

Allemagne - Pologne (J1)

Croatie - Allemagne (Journée 2)

Autriche - Pologne (J2)

Pologne - Croatie (Journée 3)

Allemagne - Autriche (J3)

Groupe C
Italie

France

Pays-Bas

Roumanie

Les favoris :
L'Italie et la France, finalistes du dernier mondial allemand, sont les favoris pour terminer aux deux premières places du groupe. Néanmoins, les Pays-Bas restent de sérieux prétendants à la qualification, tandis que la Roumanie pourrait jouer les troubles-fêtes dans ce "groupe de la mort".

Les stars :

Gianluigi Buffon (Italie - Juventus Turin)

Luca Toni (Italie - Bayern Munich)

Franck Ribéry (France - Bayern Munich)

Thierry Henry (France - FC Barcelone)

Edwin Van der Sar (Pays-Bas - Manchester United)

Ruud Van Nistelrooy (Pays-Bas - Real Madrid)

Cristian Chivu (Roumanie - Inter Milan)

Adrian Mutu (Roumanie - Fiorentina)

Les jeunes à suivre :

Alberto Aquilani (Italie - AS Roma)

Karim Benzema (France - O. Lyon)

Klaas-Jan Huntelaar (Pays-Bas - Ajax Amsterdam)

Wesley Sneijder (Pays-Bas - Real Madrid)

Stefan Radu (Roumanie - Lazio Rome)

Le calendrier :

France - Roumanie (Journée 1)

Italie - Pays Bas (J1)

Italie - Roumanie (Journée 2)

France - Pays-Bas (J2)

France - Italie (Journée 3)

Pays-Bas - Roumanie (J3)

Groupe D

Espagne

Grèce

Russie

Suède

Les favoris :

Après le Groupe C, ce groupe est sans doute le plus serré. L'Espagne semble favorite, mais elle devra faire attention à la Grèce, tenante du titre, la Russie, emmenée par ses vainqueurs de la Coupe de l'UEFA (Zénith Saint Petersbourg) et la Suède, toujours présente lors des grandes compétitions internationales.

Les stars :

Iker Casillas (Espagne - Real Madrid)

Fernando Torres (Espagne - Liverpool)

Georgios Seitaridis (Grèce - Atlético Madrid)

Giorgios Karagounis (Grèce - Panathinaïkos Athènes)

Andreï Archavine (Russie - Zénith Saint-Pétersbourg)

Konstantin Zyrianov (Russie - Zénith Saint-Pétersbourg)

Freddie Ljungberg (Suède - West Ham)

Zlatan Ibrahimovic (Suède - Inter Milan)

Henrik Larsson (Suède - Helsingborgs IF)

Les jeunes à suivre :

David Silva (Espagne - Valence CF)

Cesc Fabregas (Espagne - Arsenal)

Georgios Samaras (Grèce - Celtic Glasgow)

Dimijar Bilialetdinov (Russie - Lokomotiv Moscou)

Pavel Pogrebniak (Russie - Zénith Saint-Pétersbourg)

Andreas Granquist (Suède - Wigan Athletic)

Sebastian Larsson (Suède - Birmingham City)

Quarts de finale :

1er Groupe A - 2e Groupe B (Match 1)

1er Groupe B - 2e Groupe A (Match 2)

1er Groupe C - 2e Groupe D (Match 3)

1er Groupe D - 2e Groupe C (Match 4)

Demi-finales :

Vainqueur Match 1 - Vainqueur Match 2 (Match A)

Vainqueur Match 3 - Vainqueur Match 4 (Match B)

Finale :

Vainqueur Match A - Vainqueur Match B

Les stades :

Sankt Jakob-Park - Bâle : 42 500 places

Letzigrund Stadion - Zurich : 31 500 places

Stade de Suisse Wankdorf - Berne : 32 000 places

Stade de Genève - Genève : 31 500 places

Ernst-Happel Stadion - Vienne : 53 000 places

Stadion Tivoli Neu - Innsbruck : 30 000 places

Stadion Salzburg Wals-Siezenheim : 32 700 places

Wörthersee Stadion - Klagenfurt : 30 000 places

American Gangster

Un superbe film réalisé par le grand Ridley Scott. Basé sur une histoire vraie, il nous montre un chassé croisé entre deux grands acteurs : Denzel Washington et Russel Crowe. Le premier fait du traffic de drogue, qu'il importe grâce à la guerre au Vietnam et le second mène l'enquête pour le coincer. Les deux acteurs ne se rencontreront finalement qu'à la fin du film, un paradoxe, étant donné que leur histoire est étroitement liée. Un film à voir dès que possible si ce n'est pas déja le cas.

Pour infos, Russel Crowe s'est déja distingué dans Gladiator du même Ridley Scott et Denzel Washington est connu pour ses rôles dans Malcolm X, Inside Man ou encore Training Day.

En cadeau, une vidéo d'une superbe scène du film (que vous parliez anglais ou non, elle mérite d'être vue !).

Bordeaux 3-0 Milan AC 1996

Les Girondins de Bordeaux parviennent à s'imposer face au grand Milan AC en quart de finale retour de la Coupe de l'UEFA 1996. Un match d'anthologie dans l'histoire du football français après la défaite 2-0 de l'aller à San Siro. Vous pouvez remarquer un Michel Platini particulièrement heureux aux commentaires.

Lieu : Bordeaux, Parc Lescure (aujourd'hui Chaban Delmas)

Date : Mardi 19 mars 1996

Temps : Beau

Arbitre : Mr. Cakar

Affluence : 32 500 spectateurs (guichets fermés)

Bordeaux : Huard - Toyes, Dogon, Friis-Hansen, Lizarazu (Cap.) - Lucas, Dutuel (Grenet, 62e), Zidane, Witschge - Tholot (Fernandez, 86e), Dugarry Entraîneur : G. Rohr

Milan AC : Ielpo - Panucci, Costacurta, Baresi (Cap.), Maldini - Desailly, Vieira (Locatelli, 71e), Eranio (Albertini, 24e), Donadoni - R. Baggio (Di Canio, 46e), Weah Entraîneur : F. Capello